Envoyez nous votre commande
Vous êtes ici
La lutte contre la corruption au Cameroun de 1999 à 2008
Le texte fondateur de la Déclaration universelle des Droits de l’homme de l’ONU de 1948 est basé sur celui de l’Assemblée nationale de la France de 1789 qui consacrait les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme. Les causes des malheurs des pouvoirs publics et de la corruption ont été identifiées dans l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme.
Détails sur le livre | |
---|---|
Auteur | Titi-Nwell |
ISBN | 9956-444-55-3 |
Nombre de pages de la version papier | 91 pages |
Format | 160X240 mm |
Date de publication | 2009 |
Editeur | Presses universitaires d'Afrique |
Langue | Français |
Le texte fondateur de la Déclaration universelle des Droits de l’homme de l’ONU de 1948 est basé sur celui de l’Assemblée nationale de la France de 1789 qui consacrait les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme. Les causes des malheurs des pouvoirs publics et de la corruption ont été identifiées dans l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme.
Depuis, de multitudes textes et instruments internationaux et nationaux ont été adoptés pour promouvoir et défendre les droits de l’homme ou des travailleurs selon les domaines. Ainsi, nous avons la Déclaration des droits de l’homme, la Convention internationale sur les droits économiques, sociaux et culturels, le Pacte mondial, les Conventions et Recommandations de l’Organisation Internationale du Travail, les lignes directrices de l’OCDE sur les Entreprises Multinationales, les différentes initiatives régionales, bilatérales et unilatérales, volontaires et privées. Tous ces instruments concourent à protéger et à rappeler les droits et devoirs des uns et des autres :
« Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression.
Art.7 : Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Art.21.al.3 : La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote. »
La banalisation de la problématique de la corruption, couplée à l’impossibilité pour les peuples victimes de sanctionner les décideurs, notamment par la voie des urnes peuvent être considérées comme la source même de la paupérisation rampante voire une violation du dispositif international en matière de droit de l’homme.
Avant-propos ...................................................................... 5
Remerciements ................................................................... 9
Résumé .............................................................................. 11
Introduction ...................................................................... 13
1ère partie
Regards croisés sur la lutte contre la corruption au Cameroun....19
Chapitre I
Les publications d’enseignants et chercheurs ............ 21
1. Synthèse des ouvrages édités par la FES .................. 22
2. Autres publications sur la corruption au Cameroun ...24
Chapitre II
Le point de vue des organisations internationales .... 31
1. Transparency International ......................................... 32
2. La Banque Mondiale/IFC ........................................... 34
3. Le Système des Nations Unies et l’Initiative« CHOC » ... 35
Chapitre III
La voix du peuple camerounais .................................... 39
1. La corruption dans le domaine de la justice ............ 41
2. Le manque de matériel dans les services ................. 44
2ème partie
L’action de lutte contre la corruption au Cameroun ..49
Chapitre IV
L’engagement du gouvernement camerounais .......... 51
1. Les Cellules ministérielles anti-corruption .............. 52
2. La CONAC..................................................................... 60
3. « L’Opération épervier » ............................................. 63
4. L’initiative CHOC ......................................................... 64
Chapitre V
L’engagement de la société civile .................................. 65
1. Les communautés de foi ............................................. 65
a. L’Eglise Catholique ................................................. 65
b. La Campagne « Semaines Pascales » .................... 70
2. Transparency International-Cameroon (TI-C) .......... 71
Conclusion ........................................................................ 75
Bibliographie .................................................................... 85
Table des matières ........................................................... 89
Ces livres pourraient aussi vous intéresser !
-
L’ordonnance n° 62/OF/04 du 7 février 1962, texte35,00 €